Pourquoi rejoindre le CEDIMES ?
Créé en 1972 par le Professeur Emérite Jacques AUSTRUY, au sein de l’Université Panthéon-Assas (Paris II), le Centre de Développement International et des Mouvements Economiques et Sociaux (CEDIMES) avait pour tâche d’analyser les processus de développement dans ses diverses composantes économiques et sociales tout en intégrant les mécanismes du Pouvoir et leurs dimensions internationales. Il regroupait des économistes autour de la pensée de son fondateur dans une vision souvent impertinente, mais toujours humaniste du développement. Autour de ces fonds baptismaux, le Professeur Luc Bourcier de Carbon auteur notamment d’une magistrale histoire de la pensée économique et le Recteur Christian Labrousse, apportèrent un rayonnement et une dynamique qui focalisèrent de nombreux étudiants de troisième cycle, issus de tous pays.
A la fin des années quatre-vingt, enseignants et chercheurs de différentes pays proposèrent de créer un CEDIMES dans leurs propres structures universitaires pour en dupliquer la méthode et l’esprit. Cette demande inattendue ne pouvait rester sans réponses. Claude Albagli, alors Secrétaire Général, se chargea d’aborder cette question de façon très pragmatique. Après la constitution d’un premier noyau avec des partenaires congolais (Célestin Mayoukou), libanais (Ibrahim Maroun), malgache (Sahondravololona Rajemison), marocain (Mohamed El Faïz) et turc (Neçati Taskiran), le réseau se développa rapidement. Il constitua, bientôt, un ensemble académique animé par une même préoccupation scientifique au regard des processus diversifiés de développement. De nouvelles équipes se créent au fil des ans, en Afrique subsaharienne, au Maghreb, des laboratoires engagées déjà dans l’action se joignirent au mouvement au Canada, en Suisse, en Pologne, en Roumanie…. En une décennie, la diversification géographique s’étendait au Sud comme au Nord. A l’entrée du nouveau millénaire, l’Institut CEDIMES regroupait trente-quatre équipes réparties la Chine à l’Amérique, de l’Europe au monde Maghrébin et à l’Afrique subsaharienne. Enseignants, Chercheurs, Doctorants insérés dans notre structure pour un cycle de formation, un aboutissement de travaux doctoraux, une implication magistrale ou une contribution à la recherche développaient une communauté scientifique francophone, avec des approches denses, tonifiantes et valorisantes. En 2025, nous avons plus d’une soixantaine d’équipes affichant un millier de sociétaires.
Le domaine d’expertise de l’Institut CEDIMES se noue dans sa vocation initiale de scrutateur des pays en développement (processus et politiques de développement, analyse de la transition, approches sectorielles des productions agricoles ou des implantations industrielles, déterminants démographiques et sociaux, particularités des économies insulaires, impact pour un développement durable…). Cette approche s’est élargie au processus de développement de l’ensemble de la planète pour être déclinée en trois orientations: 1) la mondialisation (transition, échanges internationaux, zones économiques, coopération nord-sud, chaine de valeurs, démondialisation …), 2) l’insertion du développement au plus près des territoires pour embrasser les spécificités locales en termes de ressources, de cultures, de valeurs... 3) enfin, l’analyse du champ entrepreneurial dans ses processus d’émergence, de création d’emplois, d’implication du secteur informel, d’alliances des richesses (création d’entreprises, secteur informel, d’alliances stratégiques transnationales, de mutations technologiques.
On l’aura compris, le réseau des CEDIMES présente plusieurs caractéristiques originales s’exprimant par la performance de ses outils, la dynamique de sa communauté scientifique, l’envergure internationale de son action.
I - UN OUTIL
L’Institut CEDIMES est avant tout un outil à la disposition de la communauté scientifique francophone.
- Un outil de valorisation des actions des laboratoires et de leurs chercheurs. Il s’affirme par une médiatisation appropriée des recherches, des colloques, des publications individuelles ou collectives, des formations, des stages, des thèses ou des appels à contributions…
- Une image de marque commune et partagée. Par son déploiement international, l’Institut s’inscrit dans le cadre de la mondialisation. Désormais plus d’une soixantaine de Délégations sont implantées par le monde. L’acronyme « CEDIMES » est devenu aujourd’hui, une appellation qui symbolise ce creuset où des entités multiples, aux identités culturelles variées, réfléchissent ensemble sur les questions qui traversent les enjeux de notre monde contemporain. L’institut CEDIMES incarne une compétence économique internationale après avoir été d’abord, le dépositaire d’une vision du développement au sein d’une prestigieuse université parisienne.
- Un réseau de chercheurs francophones. La langue française est la langue de communication de l’Institut dans son organisation et ses travaux. Il focalise des chercheurs qui n’appartiennent pas nécessairement à des pays francophones. Une part importante de ses Délégations relève de pays issus d’autres champs linguistiques, mais disposant néanmoins de locuteurs de la langue de Molière. Ces unités accueillent aussi des chercheurs non francophones, mais travaillant au sein de nos équipes.
- L’ampleur du réseau. Le cinquantième anniversaire a provoqué une impulsion nouvelle (2022). En 2025, un millier de sociétaires se retrouvent disséminées dans une soixantaine d’équipes identifiées comme Délégations Régionales. Cette dynamique n’est pas tarie, composée de professeurs d’université, de chercheurs émérites, des jeunes doctorants, de professionnels expérimentés, cette communauté est riches de ses composantes culturelles contrastées, mais s’enrichissant mutuellement.
II – UNE COMMUNAUTE SCIENTIFIQUE
- Des noyaux de haute intensité. Les participants sont des chercheurs de haut niveau scientifique avec, en leur sein, de jeunes chercheurs doctorants, pépinière des talents de demain. La création des équipes répond à des normes avant d’être validée par les Conseils de l’Institut CEDIMES. Les équipes ont à leur tête un Délégué Régional qui représente les membres de l’unité lors des Assemblées Générales.
- Une spécialisation englobante. Les équipes relèvent de champs disciplinaires polarisés sur l’économie et la gestion, les relations internationales et les défis contemporains. Loin d’être enfermés dans ces spécialités, les sciences connexes sont volontiers accueillies pour fournir les éclairages complémentaires (Droit, agronomie, sciences politiques…) et les professionnels insérés dans la création de valeurs, les évolutions technologiques, l’emploi ont toute leur place parmi nous. Les échanges et la confrontation de point de vue, la mise en lumière d’observations, la coloration culturelle de points de vue concourent à une compréhension du monde profondément bousculé dans ses assises.
- Un dialogue multidirectionnel. L’institut CEDIMES devient un lieu privilégié de rencontres entre les chercheurs issus de contrées différentes, stimulés par la recherche d’une meilleure compréhension planétaire. Eviter d’ânonner des slogans à la mode qui, une fois usés jusqu’à la corde, laisseront place à d’autres promis à un avenir similaire. S’inscrire dans le temps long pour valoriser les lignes de forces et les enjeux. Comprendre les points de vue dissonants, analyser les élans disruptifs pour mieux appréhender un monde complexe. Tenir l’expérience concrète du terrain et les interprétations significatives pour donner sens à des analyses et à des propositions. Actualiser, nuancer, enrichir, l’Institut s’érige en observatoire de l’avenir potentiel.
- Une communauté scientifique francophone comme identité. Outre son évidence dans les pays qui ont en partage la langue française, l’option francophone a d’autres justificatifs dans un contexte d’opportunités pléthoriques pour rallier des réseaux anglophones. Dans les pays où l’usage du français ne relève pas du quotidien, les chercheurs francophones ressentent souvent un certain isolement. Le CEDIMES permet de resserrer ces liens dans une communauté scientifique locale, de lui donner une structure d’identification et de la relier à un ensemble plus vaste aux dimensions internationales. Le réseau cristallise alors une potentialité latente qui répond à un véritable besoin pour les sciences sociales, économiques et entrepreneuriales.
- Une capacité d’influence. Chaque équipe mobilise ses membres avec des effectifs qui varient d’une dizaine à plus d’une soixantaine pour engager des approfondissements scientifiques, les implications professionnelles et les incidences internationales. Elles sont souvent dirigées par des personnalités locales.
- L’intégration des doctorants. L’Institut CEDIMES permet aux jeunes chercheurs de s’intégrer dans des équipes composées de membres expérimentés, d’accéder à des personnalités influentes et de s’enrichir d’une expérience internationale. L’organisation régulière de Collèges Doctoraux assure un encadrement diversifié complémentaire très internationalisé rencontrant un succès confirmé.
- Un véritable partenariat. La structure juridique donnant à chaque unité, une place équivalente sans idée de filiale, concoure à l’attractivité et contribue à nourrir un esprit fait d’ouverture, d’échange et de co-construction mutuellement enrichissant. Sa forme originale élaborée depuis un demi-siècle, permet une organisation particulièrement adaptée aux besoins contemporains. Le succès croissant rencontré avec la démultiplication des Délégations Régionales en vérifie la pertinence et en conforte la cohésion.
- L’impulsion des Délégués et l’action des Directeurs. Les Délégués Régionaux qui dirigent les équipes, impulsent des actions de recherche, de pédagogie en cohérence avec les besoins territoriaux. Les Directeurs Nationaux coordonnent les initiatives des diverses Délégations et assurent la cohésion internationale. Le Bureau International vient en appui pour les fonctions opérationnelles.
III – UNE ACTION
- La conjugaison des moyens. L’organisation d’un cadre regroupant des chercheurs confirmés et de jeunes doctorants assure la mise en place d’équipe de travail et de séminaires permanents de recherches. Certains projets génèrent des ressources, d’autres pas bien entendu. Les fonds disponibles sont dévolus essentiellement à la coordination, à l’aide à la mobilité de chercheurs pour des manifestations scientifiques, au soutien à la publication, aux frais afférents à la réalisation de nos projets.
- La mobilité des chercheurs entre les Délégations. Le réseau fournit des occasions de mobilité pour ses membres à l’occasion de stages de jeunes chercheurs. Mais il peut aussi recevoir des professeurs et des chercheurs de haut niveau lors de missions pédagogiques et scientifiques. De nombreux échanges ont permis la concrétisation de tels projets. L’organisation de conférences thématiques, la finalisation de thèses ou la contribution à des programmes pédagogiques en illustrent la pertinence.
- Le colloque fédérateur annuel. Il focalise chaque année, les forces vives sur un thème de recherche conforme aux grands axes d’intérêts du réseau. Cette manifestation académique fédératrice de l’Institut est organisée tour à tour par l’un des centres qui candidate en présentant son projet. Ce colloque assure une réunion régulière du réseau et la valorisation de l’équipe d’accueil. Il permet d’y confronter travail accompli, informations novatrices et idées en gestation. Ce cadre est aussi l’occasion d’intéresser de nouvelles compétences à rejoindre l’institut, voire à initier la création de nouvelles équipes.
- Des colloques internationaux régionaux. Ils permettent à une Délégation d’organiser une conférence sur un sujet plus pointu ou une préoccupation plus régionale. Ils donnent une lisibilité à l’équipe organisatrice tant vis-à-vis de son Université que d’autres institutions partenaires. Ces manifestations se sont développées depuis 2004 lorsqu’il est apparu que l’organisation d’un Colloque Fédérateur tournant créait derechef un cycle d’une trentaine d’années ! Rappelons qu’au cinquantième anniversaire, ce n’est plus une trentaine, mais une cinquantaine de délégations et en 2025 plus d’une soixantaine !
- Les « Cahiers du CEDIMES - Enjeux sociaux et stratégie économiques ». Lancés sous forme de monographie au début du siècle, exposant analyse individuelle ou travaux collectifs, ils se sont convertis depuis 2007 en une Revue Scientifique trimestrielle, augmentée fréquemment de numéros spéciaux. Une collaboration étroite, initiée par le Recteur Ion Cucui, avec le CEDIMES-Roumanie et l’Université Valahia en a assuré l’émergence. Marc Richevaux en a été le Rédacteur en Chef durant une quinzaine d’années. Aujourd’hui, le Rédacteur en Chef Christian Michon, le Président du Conseil Scientifique Hafedh Ben Abdennebi et le Directeur de la Revue Valentin Radu en assure le développement et la pérennité.
- « Conjoncture ». Cette Collection a passé à la loupe l’actualité internationale des cinq dernières années du XXème siècle. Réalisée par quelque soixante-dix chercheurs issus d’une trentaine de nationalités, elle a contribué à asseoir la réputation internationale de l’Institut en étant présenté par le grand quotidien économique français « Les Echos » dans ses pages éditoriales. Avec un millier de pages assorties de cartes et de tableaux, la publication donnait la synthèse annuelle de la conjoncture politique, sociale et économique de tous les pays de la planète ainsi que des marchés.
- La Collection Editoriale « Mouvements économiques et sociaux ». Depuis 2001, l’Institut a lancé une collection d’ouvrages dont l’édition répond à la parution d’environ deux volumes par an, sous la direction de Claude Albagli. Ces ouvrages reprennent des contributions multiples autour d’un thème donné ou exposent étude et analyse d’auteur. Les grands thèmes développés touchent le développement, la mondialisation, l’émergence chinoise, les enjeux écologiques, la puissance américaine, la question entrepreneuriale…
- Les séjours professionnels. La diversité géographique des lieux d’implantation du CEDIMES et des liens avec les entreprises et les administrations locales permet d’engager des collaborations, des stages, des visites d’entreprises ou des voyages d’études. L’une des plus éloquente a été l’accueil à Paris dans un grand hôtel parisien d’une mission entrepreneuriale chinoise.
- Les universités d’été en Chine. Créées au cours de la première décennie du nouveau siècle, ces universités ont connu un succès stimulé par l’émergence chinoise, suspendue avec le Covid, les deux parties étudient la reprise de ce rendez-vous annuel. Elles permirent à des cohortes d’étudiants de s’immerger dans le Yunnan au pied du Tibet, durant un mois entier dans un cadre universitaire. Accueillies par Mme Wu Jun, ces étudiants européens, nord-américains, maghrébins et subsahariens venaient confronter leurs idées reçues à leurs propres expériences d’une puissance émergente incontournable.
- Les expériences pédagogiques du CEDIMES. Avec le soutien des services culturels de l’Ambassade de France, et l’appui de l’Université Panthéon-Assas (Paris II), le CEDIMES initia la création d’un Master francophone à Nanjing (Chine). Il s’engagea ensuite au Kazakhstan, à l’Université Kaïnar pour un Master professionnel ouvert sur l’entreprise et l’économie mondialisée, avec son corps enseignant internationalisé. C’est avec les Emirats Arabes Unis que furent mis en place des séquences pédagogiques pour faciliter l’accès aux enseignements pédagogiques de la Sorbonne Doubaï.
- Les Masters avec le CEDIMES. La disponibilité d’un vaste corps professoral issu d’une grande diversité de pays, appartenant souvent aux meilleures universités du pays, a permis de proposer une coopération originale en développant des programmes de troisième cycle. La polyphonie de la mondialisation est directement portée aux étudiants au travers des divers enseignements Ces contributions ont été renforcées par l’expertise du CEDITER conduite par Denis Dhyvert, sur le « développement territorial ». Trois pays participent à ce programme : Cameroun, Congo RDC, Haïti.
- Les Prix de la recherche. Avec la contribution d’éminents partenaires comme l’Agence Française du Développement, de la Caisse des Dépôts et Consignations, des grands groupes de Total Energie et de BNP Paribas, sans oublier l’Organisation Internationale de la francophonie, l’Institut CEDIMES a instaurer un Prix International d’Excellence portant sur des Mémoires de Masters d’une part et des thèses de Doctorat d’autre part. Ces Prix ont permis d’honorer des étudiants de tous les continents pendant près d’une dizaine d’années. Ils étaient délivrés dans des cadres prestigieux comme le vieil amphithéâtre de la Sorbonne ou la Cité des Sciences de Paris et remis par des personnalités qui ne l’étaient pas moins comme les Premiers Ministres Jean-Pierre Raffarin et Alain Juppé notamment.
- La constitution d’équipes plurinationales de recherches. Le réseau CEDIMES permet de mettre en place des équipes issues de plusieurs pays pour être immédiatement opérationnel dans le cadre d’appels d’offres d’institutions internationales ou de projets ministériels. Dans le cadre de manifestations internationales organisées par d’autres institutions, l’Institut apporte un appui, un soutien et une expérience facilités par son maillage international.
- Les Webinaires internationaux. En collaboration avec la chaire Jarislowsky de l’Université Laval du professeur Zhan Su, l’institut CEDIMES a développé des cycles de webinaires avec d’éminentes personnalités de la tricontinentale Afrique-Amérique-Europe. Avec un réseau d’un millier d’auditeurs potentiels, ces conférences abordent les grands enjeux contemporains dans un monde où l’ordre international est contesté, la chaîne de valeurs, bousculée, les paradigmes délégitimés, ces rendez-vous sont des moments passionnants de controverses, d’hypothèses et d’analyses. Ils constituent les prémices d’émergence d’un « think-tank ».
- Un parrainage exceptionnel. A l’aube du nouveau millénaire, après vingt-cinq années de développement, l’institut CEDIMES a cherché des parrains pour appuyer son action. Deux personnalités de premier plan ont accepté : la première c’est le Prix Nobel d’Economie Maurice Allais, ce qui constituait un hommage particulier pour un réseau d’économistes et de gestionnaires. La seconde fut le Secrétaire Perpétuel de l’Académie Française, Premier Ministre sous Georges Pompidou et ministre des Armées sous Charles de Gaulle. Après leur décès, deux autres personnalités consentir à accorder leur parrainage, ce fut et c’est encore, Jean-Pierre Raffarin, Premier Ministre sous Jacques Chirac, et enfin, Abdou Diouf, ancien Président du Sénégal et successeur de Leopold Senghor, Secrétaire Général de l’Organisation Internationale de la Francophonie.
EN CONCLUSION
Ainsi, le réseau s’est développé sur des bases conformes aux vœux du fondateur du premier CEDIMES à Paris, le Professeur Emérite Jacques Austruy. Il voulait créer un ensemble alliant les qualités scientifiques à celle d’une convivialité stimulante. En combinant une ouverture culturelle de grande ampleur, en se voulant un scrutateur des idées novatrices et des évolutions planétaires, l’Institut CEDIMES a forgé une structure originale greffée simultanément sur le monde universitaire, les réalités entrepreneuriales et le déploiement transcontinental en polarisant une élite internationale.
L’Institut CEDIMES n’est ni un laboratoire, ni un cabinet d’études, il est un creuset international de réflexions, de pédagogie et de coopération. Son intérêt réside dans ses recherches appliquées aux processus de développement, sa marque s’inscrit par l’utilisation privilégiée du français comme lien de communication, sa richesse s’expose avec la mise en commun d’approches aux sources culturelles multiples, son caractère s’est forge dans la mobilisation d’une élite académique internationale, sa raison s’affirme par cette capacité d’écoute et ce désir d’œuvrer ensemble pour comprendre les multiples composantes de notre monde du troisième millénaire.
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La cotisation de 35 € a été réduite à l’occasion du cinquantième anniversaire à 20 €. Nous contacter pour le mode de règlement. Un service de règlement direct en ligne est en cours d’installation.